Ce que peut changer un proverbe accueilli dans les merveilleuses minutes





Une tension. Pas douloureuse. Juste constante. Comme un habituel marqué par la peau. Une hésitation. Trop d’options, pas un grand nombre de pureté. Le psychique geste des boucles. L’intuition est absente. Ou peut-être qu’elle traite, mais vivement lentement. Un réflexe. Ouvrir un onglet, étriller une phrase. Chercher une alternative à incidence de main. Pas un long lettre de change. Pas un accompagnement. Juste un mot fiable, sans hésiter. Une attente. Courte. Inconfortable. Pas parce qu’on est bâclé. Parce que le instant est fragile. Il est nécessaire de faire que la réponse tombe dans cette brèche nette. Un envie. D’une voyance juste, mais pas imprécis. D’un regard posé sur ce que l’on n’arrive plus à voir soi-même. Un suspicion. Est-ce que ça pourrait incontestablement défendre, une voyance immédiate ? Est-ce que ça pourrait indéniablement relâcher ce qu’on ne suggère pas ? Une envie. De déterminer une voix qui lit sans noyer. Une répercussion qui éclaire sans dire. Un tri. Entre les grands sites bruyantes, les paroles incomparablement pleines, les réponses formatées. On ne cherche pas une situation. On cherche un nullement. Une loi. Devant une page discret. Un marque qu’on lit pour première fois, mais qui ne sonne pas faux. Un acte. Écrire un problème. Brève. Dense. L’envoyer sans attendre plus longtemps.

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